02 586 00 00
Nos conseillers sont à votre écoute :
9h-23h du lundi au samedi / 10h-23h le dimanche
Pour nous appeler depuis l'étranger, merci de
cliquez-ici
prix d'un appel local
prix d'un appel local
Infos & réservations
Pour nous appeler depuis l'étranger, veuillez composer le :
+33 170 365 000
Numéro accessible hors de France exclusivement (prix d'un appel local depuis un poste fixe)
Il n'y a pas, à l'heure actuelle, de vol direct au départ de l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle.
Air France et Delta Airlines effectuent des liaisons quotidiennes à destination de l'aéroport Jorge Chavez de Lima, avec escale à Atlanta, aux Etats-Unis (durée du voyage : 19 h 30). Renseignements et réservations : Air France, au 36 54 ou sur www.airfrance.fr.
Air France et Taca via effectuent des liaisons quotidiennes à destination de l'aéroport Jorge Chavez de Lima, avec escale à Caracas, au Venezuela (durée du voyage : 17 h). Renseignements et réservations : Air France, au 36 54 ou sur www.airfrance.fr.
Continental Airlines effectue deux liaisons quotidiennes à destination de l'aéroport Jorge Chavez de Lima, une via New York, l'autre via Houston (durée du voyage : 19 h 30). Renseignements et réservations : Continental Airline, au 01 71 23 03 35 ou sur www.continental.com.
Varig effectue une liaison quotidienne à destination de l'aéroport Jorge Chavez de Lima, avec escales à Rio de Janeiro et La Paz ou São Paulo (durée du voyage : 24 h et 29 h). Renseignements et réservations : Varig, sur www.varig.fr.
Iberia assure un vol quotidien à destination de l'aéroport Jorge Chavez de Lima, avec escale à Madrid (durée du voyage : 27 h 35). Renseignements et réservations : Iberia, au 0 825 800 965 ou sur www.iberia.fr. KLM assure un vol quotidien à destination de l'aéroport Jorge Chavez de Lima, avec escale à Amsterdam (durée du voyage : 17 h). Renseignements et réservations : KLM, au 0 890 710 710 ou sur www.klm.com.
En Avion
En raison de la topographie très montagneuse du pays, l'avion est un moyen de transport presque nécessaire au Pérou. Certaines zones en Amazonie ne sont accessibles que par avion ou bateau. La plupart des villes sont desservies par des lignes intérieures, à l'exception notable d'Arequipa. Le voyageur doit s'acquitter d'une taxe d'aéroport à chaque départ (à Lima, 28,24 $ pour un vol international, 5 $ pour un vol intérieur). En Bolivie également, l'avion constitue une option à considérer.
Transports en commun
Pour la population locale, le car est le transport roi au Pérou comme en Bolivie. Le réseau de villes desservies est en effet très dense et les prix très abordables. Les véhicules sont dans un état relativement bon, même si l'on aura intérêt à choisir des bus plus confortables. Les trajets durent en effet facilement 8 h, 12 h, voire 24 h, et le voyageur est parfois un peu secoué. Le train est très peu développé et il n'y a guère que pour monter au Machu Picchu qu'il est incontournable.
Dans les villes
Privilégiez les taxis: ils sont très nombreux et bon marché. La nuit surtout, préférez les taxis officiels, c'est-à-dire possédant une enseigne fixe lumineuse et non une simple affichette. Les transports collectifs, certes beaucoup plus pittoresques, réclament une connaissance minimale de la ville pour être empruntés.
Cuzco-Huaraz : 1515 km
Cuzco-Ica : 708 km
Cuzco-Lima : 1115 km
Cuzco-Pucallpa : 1629 km
Cuzco-Puno : 387 km
Cuzco-Tacna : 764 km
Cuzco-Trujillo : 1663 km
Cuzco-Tumbes : 2420 km
Huaraz-Ica : 708 km
Huaraz-Lima : 400 km
Huaraz-Puccalpa : 1240 km
Huaraz-Puno : 1716 km
Huaraz-Tacna : 1735 km
Huaraz-Trujillo : 336 km
Huaraz-Tumbes : 1094 km
Ica-Lima : 308 km
Ica-Puccalpa : 1143 km
Ica-Puno : 1005 km
Ica-Tacna : 1027 km
Ica-Trujillo : 856 km
Ica-Tumbes : 1614 km
Lima-Puccalpa : 840 km
Lima-Puno : 1316 km
Lima-Tacna : 1335 km
Lima-Trujillo : 548 km
Lima-Tumbes : 1306 km
Puccalpa-Puno : 2016 km
Puccalpa-Tacna : 2170 km
Puccalpa-Trujillo : 1388 km
Puccalpa-Tumbes : 2145 km
Puno-Tacna : 378 km
Puno-Trujillo : 1864 km
Puno-Tumbes : 2621 km
Tacna-Trujillo : 1883 km
Tacna-Tumbes : 2641 km
Trujillo-Tumbes : 758 km
Heure locale
Le Pérou est à l'heure GMT-5, la Bolivie à GMT-4. Attention : pas de changement d'heure en hiver ou en été. On compte ainsi 7 h de décalage entre le Pérou et la France durant l'été français, 6 h durant l'hiver.
Electricité
Le courant est de 220 volts. Pas d'adaptateur nécessaire
Horaires d'ouverture
Les jours et horaires d'ouverture sont très variables d'un lieu à l'autre, en particulier pour les sites touristiques. Les banques ouvrent du lundi au vendredi de 9 h à 18 h et le samedi de 9 h à 12 h, les administrations sont ouvertes du lundi au vendredi de 8 h 30 à 13 h et de 14 h à 18 h, les ambassades de 8 h à 12 h les mêmes jours. Les boutiques sont ouvertes du lundi au samedi (et souvent le dimanche) de 9 h à 20 h. Les lieux touristiques ouvrent toute la semaine. Certains ferment le dimanche ou le lundi - de 9 h à 12 h et de 15 h à 18 h.
Poste et communications
Les téléphones publics fonctionnent à pièces ou à cartes. Mais les téléphones les plus courants, surtout en dehors des grandes villes, sont en fait proposés dans des boutiques ou mêmes dans des stands de rue. De couleur bleue au Pérou, ils fonctionnent uniquement à pièces. Les communications internationales coûtent cher et les cartes du type Holá Perú, qui commencent à arriver sur le marché, allègent un peu la note. Les cartes prépayées - nationales ou internationales - s'achètent dans la plupart des épiceries, annoncées par des pancartes. Indicatif pour appeler le Pérou : 00 51. Indicatif pour appeler la France : 00 33. Les services de poste fonctionnent bien. Comptez environ une semaine pour un envoi normal en France (coût d'1 euro; environ). Evitez les envois de valeur, sinon en recommandé (certificado).
Médias et Internet
El Comercio est le quotidien national le plus analytique du Pérou. La República, Expreso et Liberación sont également sérieux. Les autres journaux sont plus proches du graveleux que de l'information. Comme en Bolivie, la télévision retransmet beaucoup de telenovelas et d'émissions «people ». Les cybercafés (cabinas Internet) sont extrêmement répandus au Pérou comme en Bolivie. On en trouve à chaque coin de rue dans la plupart des villes, y compris dans les agglomérations de petite taille. Le coût d'une heure est d'environ 70 centimes d'euros.
Combien ça coûte ?
Un café : 2 à 3 soles (0,5 à 0,7 euro)
Un ticket de bus : 1,50 sole (0,4 euro)
Une course moyenne en taxi : entre 5 et 15 soles (1,5 à 3,5 euros)
Un timbre pour la France : 3,5 soles (1 euro)
Une bouteille d'eau : 2 soles (0,5 euro)
Une chambre double dans un hôtel 3 étoiles : entre 50 et 110 $ (55 et 120 euros)
Une chambre double dans un hôtel 5 étoiles : entre 165 et 300 $ (180 et 327 euros)
Un petit déjeuner complet : à partir de 10 soles (2,5 euros)
Un repas : 30 à 50 soles (9 à 15 euros) en moyenne. De 3 soles, dans une gargote campagnarde, à plus de 150 soles dans un restaurant de luxe à Lima.
Sécurité
Comme beaucoup de pays d'Amérique latine, le Pérou et, dans une moindre mesure, la Bolivie ne sont pas des plus tranquilles. Une certaine pauvreté règne dans les rues et les richesses des touristes attirent logiquement des convoitises. Il ne faut toutefois pas exagérer les risques de vol ou d'ennuis : si le danger peut surgir à tout moment, l'immense majorité des Péruviens et des Boliviens est bien intentionnée. Avec de la vigilance et en appliquant les précautions simples qui suivent, on a toutes les chances de passer un séjour tranquille. Premièrement, laisser le maximum de valeurs dans le coffre-fort de l'hôtel et éviter de se promener avec des objets de valeur apparents (montres et bijoux notamment). Caméscope et autres appareils photo sont rangés dans un sac discret quand ils ne sont pas utilisés. Dans les zones très peuplées, porter le sac devant soi et non dans le dos. En voiture, verrouiller la porte et remonter la fenêtre. Eviter enfin de se promener dans les zones les plus pauvres, surtout de nuit. La plupart des vols se font sans violence ; mieux vaut donner ce que l'on a en cas d'agression, puis contacter la police. Numéro d'appel au Pérou : 105
1er janvier : nouvel an.
18 janvier : célébration de l'anniversaire de Limav1 er au 14 février : fête de la Vierge de la Candelaria à Puno
15 au 22 avril : semaine sainte d'Ayacucho
1er mai : fête du Travail.
24 juin : fête de l'Inti Raymi à Cuzco
28-29 juillet : fête de l'Indépendance
15 au 22 août : fêtes d'Arequipa
30 août : fête de Santa Rosa, patronne de Lima
Octobre : procession à Lima du Seigneur des Miracles, patron de la ville
8 octobre : bataille d'Angamos
1er novembre : Toussaint.
8 décembre : Immaculée Conception
24 et 25 décembre : Noël
Monnaie
La monnaie péruvienne est le nuevo sol (tout le monde dit « sol »), qui vaut environ 25 centimes d'euros. Le dollar américain est très utilisé et accepté quasiment partout, sauf pour les tous petits achats. Attention à ne pas se tromper : les prix sont affichés en soles, sauf à partir d'un certain prix (environ 15 $), où on parle en dollars. On trouve des billets de 200, 100, 50, 20 et 10, et des pièces de 5, 2, 1, 0,5, 0,2, 0,1 soles. Les distributeurs de monnaie se trouvent facilement dans les villes et les principales cartes bancaires sont acceptées dans de nombreux hôtels et restaurants. Il y a beaucoup de fausse monnaie (billets et pièces) en circulation.
Budget
Le coût de la vie au Pérou est trois à quatre fois moins élevé qu'en France, même si certains produits ou services peuvent atteindre des prix sensiblement équivalents. Le salaire minimal péruvien est d'environ 100 euros par mois. Le marchandage est très répandu pour l'achat d'objets artisanaux, voire, en basse saison, pour les hôtels, tours opérateurs ou locations de voiture. On discute le prix de la course avant de monter dans un taxi.
Change
L'euro est désormais répandu pour le change, même si la monnaie reine est le dollar américain. Les distributeurs proposent d'ailleurs de retirer de l'argent en soles ou en dollars. Ne pas changer d'argent dans la rue, sauf éventuellement devant les banques et les offices de police touristique : les arnaques sont fréquentes, surtout à La Paz, et de nombreux faux billets sont en circulation.
Pourboire
La propina est un élément normal de la vie au Pérou ou en Bolivie. Dans les cafés, bars et les restaurants populaires, le service est généralement inclus. On pourra néanmoins laisser une pièce. Dans les restaurants, à partir d'une certaine catégorie, le client ajoute le pourboire au stylo sur la note, voire même sur le ticket de carte de crédit. 10 % du prix de la consommation représente une bonne moyenne. Dans les lieux touristiques, les guides sont tantôt payés au pourboire, tantôt, au contraire, ils n'ont pas l'autorisation d'en recevoir !
Economie
Les ressources principales du Pérou sont les minerais, les produits dérivés de la pêche, les feuilles de coca et les textiles. Aujourd'hui, plus de la moitié des Péruviens vit en dessous du seuil de pauvreté. Officiellement, le chômage avoisine les 10 % mais le sous-emploi touche la majorité des gens qui travaillent. Le gouvernement a décidé de maintenir un cap libéral et veut développer les secteurs de l'agro-alimentaire et du tourisme pour le moment sans grands résultats.
